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Kaléïdos-coop
23 juin 2009

Départ.

Tel le corps d'une femme,

Que l'horizon ne détermine pas.

Telle cette sensation de liberté,

Que l'espace en oublie les limites.

Elle se souvient de ses caresses,

Au beau milieu d'un rêve,

Ou rien ne peut être définie.

Tel un linceul déposé sur ce corps,

Que la chaleur dénude peu à peu,

Tel le désir brûlant de ces nuits sahariennes,

Elle se souvient.

C'est en marchant vers l'infini,

Qu'il est parti sans un sourire.

Cet espace si grand,

Est désormais mourrant

Dans un coin de son coeur

Ou règne maintenant la peur.

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Commentaires
J
merite une mise en rime....pour en faire un poeme<br /> je n'ose pas tu vas me trouver un peu lourd...<br /> mais le texte est vraiment une bonne base pour un joli poème
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Kaléïdos-coop
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