Où est le cœur de cendrillon ?
Ta boite est vide misérable
Tu as failli.
Où sont tes mots, hein ?
Tes promesses que jamais tu n’as formulé…
Tes yeux me les disaient pourtant.
Tu me voulais à toi, tu transpirais le désir
Tu me dégoûtes.
Eunuque.
Sans couille.
Tu ne vois rien.
Je voulais le sang de Cendrillon!
Son cœur palpitant, baigné dans son sang.
Je voulais que de la vierge tu fasses une femme
Que tu lui prennes le cœur, que tu fasses couler son sang
Que tu la fendes.
Mais ton bras n’a pas eu la force.
Tu rêves et tu t’agites dans ton sommeil
Tu ne vois rien à la vérité brute.
Rien.
Tu peux couiner dans ton coin, je ne viendrais pas te
chercher.
Tu peux me frapper maintenant, tu n’auras que mon sang sur
le dos de ta main.
Mais sur ton ventre, jamais.
Je te hais, je te méprise.
Tu es faible d’aimer aimer.
Seul avec ton même.
A cause de toi, je resterai princesse.
Et jamais ne deviendrais reine.